
Je suis frappé par l'actualité du propos et le réalisme avec lequel il traite le sujet. Chaque détail, même parfois ceux qui sont incohérents, nous rappelle cette période mythique qu'est l'adolescence. C'est là, je crois, la force de cette BD, j'ai eu 15 ans il y a 20 ans et j'ai vécu les mêmes choses que lui. Pascal Girard réussit à prendre une photo universelle et intemporelle par l'entremise du vécu d'un jeune normal comme tous ses lecteurs l'ont été. Ce portrait de 48 pages ne finit ni bien ni mal, c'est un passage de vie, avec ses amours, ses chicanes, ses petites victoires et ses questionnements. C'est finalement une histoire comme les autres, mais racontée d'une bien agréable façon.
Voilà encore un titre que je me dénicherai sûrement. J'ai d'ailleurs lu une autre critique, dans un journal, qui en disait beaucoup de bien. Ton avis, qui va dans le même sens, me confirme que c'est une valeur sûre, et je t'en remercie!
RépondreSupprimerJ'avoue être teinté, je suis plutôt fervent de bd québécoises. Mais celle là ça ressemble à du Riad Sattouf!
RépondreSupprimerEt se rajoute maintenant une nomination finaliste du Grand Prix de la ville de Québec dans le cadre de la 23e édition du Festival de la bande dessinée francophone de Québec.
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