vendredi 13 novembre 2009
Chronique Roman , le monde, le lézard et moi
J’achète le Devoir tous les samedis pour lire Gil Courtemanche. Lorsqu’il sort un roman… Je le lis et je l’aime. La lecture est intéressante et fluide, ce roman de 234 pages se lit d’un bout. Le retour littéraire à l’Afrique est moins violent que dans un dimanche à la piscine à Kigali surtout parce que l’histoire est centré sur le personnage et moins sur son milieu. Ce récit n’en reste pas moins hautement politique. Ce qui est plaisant avec ce journaliste c’est qu’il s’adresse à ses lecteurs comme étant des égaux à lui-même. Lui qui a parcouru les ambassades et les juristes de la planète, lui qui pourrait enseigner les relations politiques au niveau doctorat, nous parle par son écriture comme si nous étions autant au courant que lui. Apprendre sans s’en rendre compte ou le plaisir de devenir plus intelligent par la lecture ? Les deux ! Ce qui est fantastique c’est qu’il nous enseigne les mœurs, les situations en nous berçant de ses histoires. Bien que la fin trop réelle m’a questionné, je vous le suggère fortement. Hé non, je ne lis pas que de la BD
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